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Quel est le statut juridique d'une personne dont l'ADN a été modifié ?

Puisque la preuve est faite que l'ARNm peut intégrer l'ADN, qu'adviendra-t-il despersonnes désormais génétiquement modifiés par un produit breveté ?

La question est très loin d'être anodine et je vous livre ici un commentaire relevé sur le blog de Jacques Henry.

Bonjour monsieur Henry,

Je partage votre colère et permettez-moi d’ajouter ceci pour que, tous, injectés et non injectés, cessions d’être divisés et nous mobilisions pour sauvegarder l’humanité et démasquer tous ces misanthropes qui bernent le monde entier avec leur fausse philanthropie.

Et dire que mon fils est allé se faire injecter pour « être libre » !

«L’illusion de la liberté continuera tant qu’il sera profitable de la maintenir. À l’instant où cela deviendra trop coûteux, ils démonteront simplement le décor, tireront les rideaux, pousseront les tables et les chaises sur le côté et vous verrez le mur de briques au fond du théâtre. »
Franck Zappa

Du « sanitaire » au juridique, ce dont personne ne parle tant les esprits sont manipulés et focalisés sur les trois V : le « vaccin », les « variants », les « vagues ».

1. Quel est cet « homme » qui figure dans l’expression « les droits de l’homme » ?

C’est la question qui m’est venue mi-juin en entendant les propos de cette dame Guillotin, sénatrice, qui a pris la parole pour « menacer » les personnes opposées à l’injection de les empêcher de disposer de leur compte bancaire et d’utiliser les transports en commun.
J’ai immédiatement pensé au poteau d’exécution et au rétablissement, de fait, de la peine de mort et je suis allée vérifier ce qu’il en est.
Si elle fut abolie en France en 1981, la peine de mort est toujours légale à l’échelon européen, dans le cadre du Protocole nº6 de la «convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales concernant l’abolition de la peine de mort », mais SEULEMENT en temps de guerre. Le texte, très vague, date de 1983 et n’évoque pas l’éventualité d’une « guerre sanitaire ». Néanmoins, souvenez-vous de la déclaration de guerre de McRon aux français le 16 mars 2020… Il a répété cette phrase six fois me semble-t-il au cours de son intervention…
Les mots sont importants et les nombres comptent aussi beaucoup pour ces idolâtres, adeptes de gématrie.
Alors, de quelle manière doit-on considérer un individu vacciné ? Est-ce toujours un homme ? Un machin ? Un hommachine? Est-ce un OGM ? Un transhumain ? Un sous-humain ? Une chose ? Et que devient la femme dans cette histoire ? Et les enfants, hein ? Qu’advient-il des enfants ?
https://www.peinedemort.org/document/4783/Protocole-no-6-a-la-Convention-de-sauvegarde-des-droits-de-l-homme-et-des-libertes-fondamentales-concernant-l-abolition-de-la-peine-de-mort

2. Parlons peu mais parlons DROIT

Quel est l’impact juridique de cette vaccination ?
Si nous, les [personnes physiques][citoyens] [individus]… sommes déclarés seuls responsables au bout de la chaîne de décision concernant la campagne mondiale de vaccination, des informations indispensables doivent nous être communiquées pour éclairer notre jugement et nous permettre de donner notre consentement en toute transparence et en toute connaissance de cause.
Dans la mesure où cette injection est susceptible de modifier notre organisme et corrompre notre statut d’humain pour faire de nous des transhumains, tout comme le génie génétique a fait du maïs naturel un maïs transgénique, quelles incidences cette injection a sur notre statut biologique et notre statut juridique ?
Serons-nous, après l’inoculation, toujours des êtres humains relevant du [Droit des Personnes] ou bien serons-nous considérés comme des objets [Droit des biens meubles/corporels ou Droit des biens meubles/incorporels] ?
Si l’injection fait de nous des « choses », à qui appartiendraient-elles ?
Ces questions sont fondamentales et pourtant, il me semble qu’elles n’ont fait l’objet d’aucun débat public, d’aucun article de presse, ni d’aucune information quelle qu’elle soit à destination de la population, dans son ensemble.
Il me semble qu’avant de songer à rendre cette vaccination expérimentale obligatoire, nous sommes tous en droit d’en savoir davantage sur ces questions.

3. Information reçue le 5 juillet qui énonce clairement qu’une fois inoculé, l’individu est réputé être un transhumain, DÉCHU DE SA CONDITION D’HUMAIN ET DEVIENT LA PROPRIÉTÉ BREVETÉE DES LABOS.

https://www.facebook.com/gaston.asper/postref=m_notif¬if_t=comment_ments/10218921658848086?ion&__tn__=R
Retranscription ici de cette publication qui a été supprimée depuis :
« Toutes celles et tous ceux qui ont reçu cette injection sont désormais techniquement « BREVETÉS » (rappelons que ce qui est breveté est « propriété ») et inclus dans la définition des « TRANSHUMAINS » …et en tant que tels, ils n’ont pas accès aux droits de l’homme ou aux droits accordés par l’Etat car ils ne sont pas classés comme 100% biologiques ou humains…!
Via Véronique Zamnibortch le 25 juin 2021 à 10:21.
Le saviez-vous ? Dans une affaire judiciaire datant de 2013 opposant « Association for Molecular Pathology vs Myriad Genetics, Inc », aux États-Unis, la Cour Suprême a statué que l’ADN humain ne pouvait pas être breveté car il était « un produit de la nature »… Mais à la fin de la décision, elle a déclaré aussi que si un génome humain était modifié par des vaccins à ARN messager (les Pfizer et Moderna actuellement utilisés), alors, le génome peut être breveté.[…]
Il y a eu des documents juridiques récemment, donc des éclaircissements devraient être disponibles.
VOIR DONC ICI, PAGE 12 DE CE DOCUMENT
Les gènes peuvent-ils être brevetés ?
https://medlineplus.gov/genetics/understanding/testing/genepatents/
Même au-delà de la mort, les injectés appartiennent à Big Pharma qui pourrait disposer des corps comme bon lui semble (engrais, pâtée, viande reconstituée)
Gaston Asper, 25 juin 2021 sur FaceBook.

4. Vaccination et droit d’être humain : Injection ? Inception ? Esclavage 2.0 ? VACCINÉ = BREVETÉ

Plus qu’un choix de société, c’est de civilisation dont il est question et la « santé » n’a pas grand chose à voir dans cette histoire, hormis à considérer la santé mentale et les délires de toute puissance d’une poignée de milliardaires, eugénistes,psychopathes, transhumanistes et satanistes.

« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions ».
Extrait du serment d’Hippocrate

A quoi le terme de « personne » employé dans cette déclaration fait-il référence ?
Comment devons-nous prendre en compte cette « personne » sur le plan juridique ?
Pendant plusieurs semaines, je me suis efforcée de comprendre l’impact de la « vaccination » dite aussi « thérapie transgénique » sur le statut biologique et juridique de celles et ceux qui la « reçoivent».
Cela me préoccupe d’autant plus que parmi mes proches, nombreux sont ceux qui s’y sont déjà soumis, avant même toute « obligation ».
Sans négliger l’aspect médical, je suis persuadée que nous devrions tous être informés sur la question du statut juridique des personnes injectées par ces « vaccins à ARN messager » qui ne méritent en aucun cas le nom de « traitements ».
Je mets ici un pdf décrivant précisément le terme de personne juridique.

Conclusions

Tous ces éléments, mis en perspective, me laissent penser que dès lors qu’ils ont reçu l’injection, ces hommes et ces femmes perdent de fait le statut d’être humain. De façon absolument trompeuse, par malice et manipulation, ils sont désormais considérés comme des transhumains, autrement dit, des humains déchus de leur condition et réduits à celle de propriétés des labos, via le jeu des brevets des pseudo-vaccins.
Une personne vaccinée perd tous ses droits, y compris celui de vivre, d’être soignée et, dans l’absolu, elle ne peut prétendre aux fameux « droits de l’homme ».

Au moment de l’administration de l’injection, la question la plus fondamentale est tout de même celle-ci, non ? Ne le croyez-vous pas ?
En l’absence d’informations suffisantes, comment considérer que les conditions du recueil du consentement des personnes ne sont pas trompeuses, que tout n’est pas mis en œuvre pour atteindre l’asservissement total des êtres humains ?

Souvenez-vous bien des mots de Schwab: « vous n’aurez plus rien et vous serez heureux ».
Heureux ? Vraiment ?
Si on songe aux béatitudes, dans le contexte actuel, ces deux versets prennent toute leur dimension, n’est-il pas ?
« Heureux les pauvres d’esprit, le royaume des cieux est à eux »
« Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre! »

Depuis le 21 juin, je suis sans nouvelle de mon fils qui a « reçu » ce jour-là une injection. Il a toujours refusé d’en discuter avec moi, connaissant ma position bien que je n’étais pas encore parvenue au bout de la réflexion. Ma mère a déjà eu les deux. Ma sœur, infirmière, ne veut pas perdre son travail et, alors même que j’ai eu la possibilité de lui montrer cet aspect de la soi-disante vaccination, elle n’en a visiblement pas pris toute la mesure.
C’est affreux ce sentiment de devoir faire le deuil de ses proches, alors même qu’ils sont vivants. Cela ne doit pas être. Et c’est pour cela que je vous transmets ces informations que bien sûr nous ne voyons pas au 20heures.
Je vous invite à vérifier ces informations que j’ai réunies au cours de ces dernières semaines. Étant donnée l’attitude des autorités nationales et internationales, le combat semble inégal mais comme on dit chez moi « Pakab lé mor san ésséyé ».

Cette affaire n’a rien de sanitaire. Il s’agit d’un problème commercial, il s’agit du commerce des êtres humains.
Nous assistons, médusés, à l’échelle de la planète entière, au rétablissement de l’esclavage. Ou plutôt à l’instauration de l’esclavage 2.0 rendu possible grâce à l’informatique, l’électronique, l’électromagnétique et à la domination sans partage d’une poignée de milliardaires eugénistes, psychopathes, transhumanistes et satanistes.